30/11/2017
« La vogue des "Chinoiseries" dans les arts décoratifs a mis à l'honneur une Chine imaginaire, symbole d'un ailleurs exotique. Les compositeurs d'opéra n'ont pas échappé à ces représentations fantaisistes. Le Musée des Tapisseries explore ce thème à travers ses collections d'art lyrique, ainsi que des objets représentatifs de l'art chinois
La visite de l’exposition, dans la chapelle de l’ancien palais épiscopal, a permis d’en savoir plus sur l’attrait des « chinoiseries » depuis le XVIIIe s. et leur influence sur plusieurs opéras avec en premier lieu Turandot de Puccini, maintes fois représenté, y compris au Stade de France dans une mise en scène du célèbre réalisateur chinois Zhang Yimou, mais aussi bien d’autres œuvres connues comme Le pays du sourire de Franz Lehár et tant d’autres perdues ou oubliées, sans oublier des opéras contemporains tels que Nixon en Chine de John Adams ou Le premier empereur de Fan Dun. Outre ses panneaux explicatifs sur ces opéras, l’exposition présentait plusieurs souvent étonnants costumes de scène et quelques objets. La visite s’est terminée par le visionnage d’extraits d’une représentation de Turandot à Toulouse.
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